«Qu’ont en commun Charles de Gaulle, Steve Jobs et Serge Gainsbourg ?
Qu’est-ce qui rapproche J.K. Rolling, Charles Darwin et Roger Federer, ou encore Winston Churchill, Thomas Edison ou Barbara ?
Ils ont tous connu des succès éclatants ? Oui, mais pas seulement. 

Ils ont échoué avant de réussir. Mieux : c’est parce qu’ils ont échoué qu’ils ont réussi. Sans cette résistance du réel, sans cette adversité, sans toutes les occasions de réfléchir ou de rebondir que leurs ratés leur ont offerts, ils n’auraient pu s’accomplir comme ils l’ont fait. »

Charles Pépin, Les vertus de l’échec

 

La mauvaise réputation de l’échec

Si aux États-Unis, l’échec n’est pas considéré comme une faute ou une faiblesse, en France, il signifie que l’on n’a pas suivi la bonne voie. 
Si aux Etats-unis, l’échec est synonyme d’audace, en France, c’est un tabou absolu.

Valoriser les diplômes, plutôt que l’expérience, entraîne la jeunesse à faire de mauvais choix. 

Charles Pépin affirme, à juste titre, que nous sommes les enfants de Platon et de Descartes, trop rationalistes, pas assez empiriques ! 

C’est pourtant bien les expériences qui nous apprennent à comprendre ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. 

 

Avoir râté ou être un·e raté·e ?

Face à la douleur et à la honte de notre échec, il se peut que l’on soit confronté à un sentiment de dévalorisation. Le sentiment d’être un·e raté·e.

Notre culture ne nous permet pas de considérer notre échec comme un évènement. Elle nous oblige à nous identifier à lui.

Pourtant, notre échec est un incident, un imprévu, une difficulté, une catastrophe, voire un désastre. Mais en aucun cas, il n’est Nous.

Nous ne devrions jamais avoir honte d’échouer car nous ne sommes pas nos échecs !

Il est important d’identifier ce qui dépend de nous et d’avoir la volonté de le changer à ce qui ne dépend pas de nous et d’avoir le courage de l’accepter.

Et spoiler : l’échec ne dépend plus de nous ! 

 

Surmonter sa peur de l’échec en osant

Les sportifs le savent bien, perdre sans n’avoir rien tenté peut laisser un goût amer. 
Mais comment apprendre à oser ?

Connaitre et maitriser sa zone de confort pour oser en sortir

Explorer sa zone de confort, c’est analyser les décisions que nous avons prises dans notre vie. Ce qui nous  rend heureux ou malheureux, ce qui nous fait nous sentir en sécurité et ce qui nous rend anxieux,…

Une fois que nous serons en mesure de reconnaître ces schémas, il sera plus facile de déterminer la façon dont nous pouvons faire “le pas de plus”.

Admirer l’audace des autres

Et se dire que c’est possible !

Etre curieux et observer les personnes pour lesquelles nous avons une grande admiration, des personnes inspirantes.
Elles incarnent la réussite et nous poussent à être plus audacieux et à suivre nos convictions car s’ils peuvent le faire, nous le pouvons aussi !

Avoir un regard optimaliste

Plutôt que perfectionniste !

Le perfectionnisme est motivé par la peur de l’échec, et nous empêche d’oser. Alors que l’optimalisme sait que la vie est faite de hauts et de bas, que l’échec permet d’apprendre et que par conséquent il ne faut pas en avoir peur.

Autres types de coaching individuels

Enfin, concernant le coaching individuel, il existe désormais des coachs spécialisés dans à peu près tous les domaines. Bien souvent, ceux-ci sont des professionnels spécialisés dans une activité et ont développé des compétences de coachs pour aider leurs élèves, leurs patients, leurs clients, etc. :

  • Coach sportif ;
  • Coach bien-être ;
  • Coach nutritionniste ;
  • Coach artistique ;
  • Etc.

Et pour conclure, je dirais qu’il est important de se rappeler l’amertume laissée par les regrets de ne pas avoir osé.